L’ŒIL et le SABRE (11/15)

Catégorie: Fiction


Ne jamais, au grand jamais crier vic­toire trop vite

La phase 5B est tota­le­ment à la charge d’une demi dou­zaine de hackers1 et de crackers[/note] Expert dans le pira­tage de sys­tèmes infor­ma­tiques et des pro­tec­tions de sécurité.[/note] dont le Ser­vice s’est entou­ré pour l’occasion en échange d’une impu­ni­té totale en plus d’une rému­né­ra­tion consé­quente. Cas­ser, blo­quer, brouiller n’importe quel sys­tème infor­ma­tique et de sécu­ri­té est leur dada. Un local adia­ba­tique est expres­sé­ment mis à dis­po­si­tion de ces vir­tuoses, qui ont minu­tieu­se­ment pré­pa­ré leur entrée en lice 17 heures durant. Les deux phases 5 sont déclen­chées simul­ta­né­ment. Ain­si, pen­dant qu’au moyen des mini-camé­ras embar­quées, sous la cou­pole on suit souffle cou­pé les treize grim­peurs qui pro­gressent comme des chats sur l’immense toile d’araignée métal­lique, les braves pirates envoient la pre­mière salve de leur attaque DoS

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envers le clus­ter3 visé. Des cour­riels et des mes­sages par dizaines de mil­liards bom­bardent simul­ta­né­ment le réseau, sui­vis par autant d’alertes, de fausses alertes et d’anomalies qui déferlent sur le sys­tème, le sub­mergent, le saturent. Dans la salle de coor­di­na­tion du QG les écrans de cer­tains ter­mi­naux passent en mode veille, d’autres déroulent un tapis sans fin de lignes aléa­toires codées, quelques uns se mettent à fumer, cer­tains explosent, peu res­tent actifs. L’affolement étant total, la phase 5B se des­sine donc comme un suc­cès de bon augure car la mise à mort du réseau infor­ma­tique signi­fie­rait que le dan­ger serait – du moins en par­tie – écar­té. Au C3 on exulte.

Moins cepen­dant sur les arma­tures glis­santes de la sta­tion, où K, dans un flash d’inattention sous la fatigue, perd l’équilibre et, se redres­sant, laisse lui échap­per une bon­bonne d’oxygène qui, elle, ne choi­sit pas de se fau­fi­ler habi­le­ment entre les mailles de la pou­trai­son pour tom­ber direc­te­ment et dis­crè­te­ment dans la mer, en revanche (“La salope!”) elle pré­fère cogner tel une boule de billard chaque tirant, chaque dia­go­nale, chaque pou­trelle ren­con­trée, dans un tapage métal­lique sur­pas­sé seule­ment par la belle explo­sion finale, qui secoue le pylône et créé une gerbe digne des arté­siennes de Ver­sailles. Heu­reu­se­ment, rien ni per­sonne ne suit l’objet dans sa chute, mais c’est aus­si l’occasion pour les méchants hôtes de décou­vrir leurs visi­teur indé­si­rables. À quelques mètres seule­ment du pre­mier plan­cher, par une fichue inad­ver­tance, la phase 5A est subi­te­ment en train de se gripper.

Au des­sus, sur les pla­te­formes comme à l’intérieur des locaux, à pré­sent c’est déjà la pagaille géné­ra­li­sée. Il y a de quoi. D’une part, les bal­lons lou­foques ne cessent de se mul­ti­plier, cernent la sta­tion, bourrent le ciel, filtrent le soleil levant, brillent de toutes les cou­leurs de l’arc-en-ciel, reflètent mille images dif­fé­rentes et gro­tesques par leurs effets de miroirs sphé­riques. D’autre part, le crash du clus­ter fait entrer sys­tème, pro­gramme et pla­ni­fi­ca­tion dans la nuit infor­ma­tique. Les IT employés par l’organisation se démènent comme de beaux diables – en vain d’ailleurs – pour rafis­to­ler ce qui pour­rait l’être: les bons pirates d’Internet res­tent les maîtres du jeu. Jamais deux sans trois: même que secoués par les épreuves subies en l’air, sur l’eau et durant leur esca­lade, les invi­tés inat­ten­dus mettent au pro­fit l’arsenal sophis­ti­qué embar­qué. Ain­si, alors que, taux d’adrénaline au som­met, l’équipe gagne la plate-forme infé­rieure et se dis­perse aus­si­tôt sui­vant les consignes, les pre­miers gar­diens sont éli­mi­nés dans l’indifférence géné­rale. Avec un peu de retard, la phase 5A se ter­mine enfin. La montre indique 05h44’28”.

Une cer­taine ambiance sur­vol­tée rem­place cette ten­sion-là trop lon­gue­ment accu­mu­lée dans les locaux du SABRE, comme d’ailleurs à Mos­cou, Lan­gley,4 Ber­lin, Londres, Paris, Tokyo et Bei­jing, lorsqu’à tra­vers les cra­que­ments et les para­sites d’une trans­mis­sion à l’agonie, une voix aiguë, hachée et vis­queuse brame à tire lari­gots: «…avez enten­du, microbe…? t’as enten­du, virus? Je veux avoir ça dan… ça tout de suite… …out-de-sui-te!!! Et les per­dus qui ont fait ça… morts, ils sont mor… vous… vous me…  é-cor-chez!!! Tu me fais…  …refait la liais… non?» Coup de feu. «Toi, tu me… qu’est-ce que j’ai dit?! Voi­là, mainte… …montres le silo 4 avec les… voi­là, fait voir le comm… le co… j’ai dit, tu m’ente… oui… déclenche-moi… …clenche-moi les charge… entends? mainte…» De dizaines d’yeux écar­quillés se tournent vers la parois der­rière laquelle sont cen­sés s’activer les six cham­pions de l’ombre qu’on venait d’applaudir à tout va. C’est quoi ce délire? A-t-on crié vic­toire trop vite?

Pra­ti­que­ment pas. En fait, der­rière la paroi, les cinq (entre temps un s’est endor­mi) s’amusent comme des fous. Leur­rer est une par­tie essen­tielle de ce busi­ness très par­ti­cu­lier. Para­ly­ser l’effroyable réseau nucléaire en quelques minutes, contri­buer ain­si gran­de­ment au suc­cès de l’opération, tou­cher le gros lot, humi­lier le monstre invi­sible – tout ça ne leur suf­fit pas. Alors, pour bou­cler la boucle et pour la bonne bouche, ils choi­sissent de se payer la tête même du SABRE, c’est-à-dire leur propre employeur! Car si les braille­ments que l’on entend sous la cou­pole au point de faire péter les haut-par­leurs sortent bien de la gorge catho­dique de l’ŒIL, cela ne veut point dire que ses ten­ta­tives déses­pé­rées de rede­ve­nir opé­ra­tion­nel valent quelque chose. Les braves cor­saires se payent le luxe de faire croire – et à l’ ŒIL et au Ser­vice – que le fonc­tion­ne­ment du sys­tème infor­ma­tique ciblé peut encore être remis en état par l’ennemi. En réa­li­té, il était mort de la plus belle des morts pos­sibles quelques minutes aupa­ra­vant. Chaque image ou son qu’ils auto­risent à faire voir ou entendre des deux côtés n’est qu’un enchaî­ne­ment d’illusions. Les cinq plus un samou­raïs-lurons sont effec­ti­ve­ment et défi­ni­ti­ve­ment maîtres du jeu. Il faut l’irruption de W – tout rouge et hors de lui – dans leur cocon autar­cique pour mettre fin au canular.

La géhenne des grands jours

La meilleure preuve est ce qui subit réel­le­ment le QG. Il y a déjà le dévas­ta­teur effet tri­an­gu­laire pro­vo­qué, d’un côté, par l’ankylose infor­ma­tique dont l’impact moral est désas­treux, d’un autre côté par les gigan­tesques molé­cules savon­neuses qui étouffent de plus en plus la sta­tion, et enfin par l’attaque subite du com­man­do qui ter­ro­rise le per­son­nel non mili­ta­ri­sé. À tout cela s’ajoute – cerise sur le gâteau – le… cadeau inat­ten­du de O! Six charges explo­sives pré­dis­po­sées à dif­fé­rentes pro­fon­deurs et dis­tances autour de l’île Bou­vet, sont action­nées en cas­cade à par­tir de 05h32’48”. Comme ces charges sont orien­tées vers la même cible, les ondes de choc des explo­sions se ren­contrent et touchent l’île (aus­si bien que la sta­tion voi­sine) à 05h47’12” pré­cises. La vision est dan­tesque. Les struc­tures en acier se tordent, grincent, miaulent, des bou­lons sautent, des sou­dures pètent, des pou­trelles plient, des pas­se­relles cassent, des vitrages se brisent, des parois s’écroulent, des câbles tombent, des réci­pients explosent, des feux éclatent, des sirènes hurlent. Des gens se jettent par des­sus les balus­trades (25 m plus bas l’eau est à 6°C) tan­dis que des vigiles n’hésitent pas un ins­tant pour les tirer comme des cailles. L’ensemble tient encore, mais les ravages dépassent les attentes des uns (qui s’affolent) et des autres (qui exultent). Au Ser­vice, la comé­die de tout à l’heure est déjà oubliée et l’on s’offre au com­plet le luxe de savou­rer les images trans­mises par les camé­ras. Au QG de l’ ŒIL c’est car­ré­ment la géhenne des grands jours.

Pen­dant ce temps, les treize du com­man­do pro­gressent: qui seul, qui par groupes de deux. ∞8 a deux ombres: la sienne et Moon­na. Les nageurs du TMR ita­lien et les tireurs du Mos­sad israé­lien prennent des posi­tions stra­té­giques d’où ils jouent au paint­ball

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létal. Le score est 104 à 2 si l’on ajoute les vic­times de l’imprécision notoire de plu­sieurs gar­diens, en tant qu’autogoals à la rubrique suc­cès, et le hors-jeu de Ross à la rubrique pertes. Démarre par consé­quent la phase 6.

Les ren­sei­gne­ments préa­lables à dis­po­si­tion pour l’équipe sur l’organisation des locaux, le fonc­tion­ne­ment des ins­tal­la­tions et les divers codes uti­li­sés sont en par­tie inutiles suite au désastre pro­duit par le mini-trem­ble­ment de terre sous l’effet conju­gué des ondes de choc. La pro­gres­sion se fait donc plu­tôt à vue et à l’instinct, dans un envi­ron­ne­ment très dif­fé­rent de celui pré­sen­té aux entraî­ne­ments. En fin de compte, entre le désa­van­tage d’un besoin accru de vigi­lance pour cause de décor modi­fié et l’avantage créé par la déroute dans laquelle est plon­gé le QG et ses occu­pants, les treize s’en sortent gagnants.

Pas tous cepen­dant, et pas tout à fait. Avec 85 enne­mis res­tants – les quatre mer­ce­naires fonc­tion­nant à plein régime et à vrai dire l’acteur n’étant non plus à la traîne – le comp­teur tourne en leur faveur. N’empêche, le bilan des pertes dans leurs rangs com­mence à se faire sen­tir, et il ne s’agit pas des bles­sés. Mais dans le fond, puisque le sou­ci du clus­ter (hors ser­vice) n’est plus désor­mais un, quels sont encore leurs objec­tifs? Il y en a trois. Pre­miè­re­ment, anni­hi­ler le réseau de secours qui per­met à l’ennemi de pas­ser in extre­mis de brefs ordres codés direc­te­ment aux res­pon­sables situés sur chaque site nucléaire. Le pro­blème est que les algo­rithmes uti­li­sés com­binent des para­mètres et des res­sources propres à plu­sieurs domaines, ce qui met à l’épreuve les com­pé­tences réunies de toute l’équipe du CERN. De sur­croît, ces gens doivent se débrouiller sans Ross. D’une part. D’autre part, la mise hors cir­cuit de ce réseau secon­daire doit être assu­rée et cer­ti­fiée concrè­te­ment comme phy­si­que­ment, ce dont s’occupe le IT du SABRE. Deuxiè­me­ment, s’assurer que nul autre source de risque poten­tiel impor­tant et d’aucune nature sub­siste dans la sta­tion, ou peut y être com­man­dée. C’est le rôle de ∞8 et de Moon­na. Troi­siè­me­ment, si pos­sible neu­tra­li­ser le dieu suc­cé­da­né et ses sbires en essayant d’épargner les sujets cap­tifs. Cette tâche revient aus­si à ∞8, épau­lé par les hommes du Mos­sad et du TMR, qui s’occupent paral­lè­le­ment de pro­té­ger toute l’équipe. Gui­der les uns et les autres aux divers empla­ce­ments est du devoir de la trans­fuge de l’ŒIL et sa charge se révèle plus com­pli­quée depuis que la confi­gu­ra­tion des lieux a com­plè­te­ment chan­gé après les chocs encais­sés par le QG.

En consé­quence, le bilan des pertes com­mence à peser, puisque l’équipe de Kamil vient jus­te­ment de perdre deux membres sup­plé­men­taires: l’astrophysicienne et la cli­ma­to­logue. Le peu de temps à dis­po­si­tion pour pré­pa­rer ces cher­cheurs à la sau­va­ge­rie qui se déroule en est la prin­ci­pale et triste cause. Ils sont retrou­vés gisant non loin l’un de l’autre, enche­vê­trés dans la fer­raille tor­due et les débris de toute nature, ric­tus de sur­prise sur leurs visages, mais sans aucune bles­sure appa­rente. Ce qui se passe est en effet par­ti­cu­liè­re­ment étrange, remarquent à l’unisson les cinq hommes d’armes: le plus grand dan­ger semble ne pas venir des 25 gar­diens (au fait plus que 18), qui en réa­li­té ont prou­vé ne pas être très bons ni au tir, ni au com­bat rap­pro­ché, mais de toutes autres… choses. Par moments, on aper­çoit en effet, comme des flashes, de petites ombres noires qui dis­pa­raissent aus­si­tôt. Des singes? Hmm, non… Il faut toute l’expérience et la ruse de l’acteur pour per­cer le mys­tère, de même que… une de ces créa­tures, et il lui faut aus­si pui­ser au plus pro­fond de ses connais­sances d’anthropologie pour enfin iden­ti­fier ces com­bat­tants appa­rem­ment redou­tables: des sen­ti­nelles!6

Il passe le mot: ce sont de féroces chas­seurs-guet­teurs-nés, armés uni­que­ment de leur petite taille, d’une agi­li­té de ouis­ti­ti, d’un savoir-se-cacher unique et de leurs minus­cules sar­ba­canes, qui crachent d’atroces mouches-tigres, évi­dem­ment vivantes et affa­mées pour l’occasion. Dès lors que le prin­ci­pal enne­mi est connu, les trois objec­tifs sont mis entre paren­thèses au pro­fit d’un qua­trième, subi­te­ment deve­nu prio­ri­taire: s’en débar­ras­ser sans délai. Mais où les trou­ver? Com­bien seraient-ils? Les consignent se trans­mettent vite par­mi les onze. La trans­fuge, ∞8, un tireur et un nageur s’occupent des sen­ti­nelles, tous les autres se mettent à l’abri; l’autre tireur et l’autre nageur assurent. Il est 05h52’14”. L’impitoyable chro­no signale -00j09h18’43”, et ça canarde de par­tout, même dans le vide. Les com­bi­nai­sons en tri-sand­wich néo­prène-téflon-kev­lar encaissent bien, que ce soit les tirs directs ou les balles per­dues, voire celles rico­chées. Tapi sous un amas de tôles, la visière col­lée à sa lunette, immo­bile, un nageur lâche entre les dents, dépi­té: «Un reale casi­no!7» Et pan! Et pan! Et voi­là: et deux gar­diens de moins.

C’est par un gros conduit hori­zon­tal désaf­fec­té – par­cours si pénible mais en tout cas plus sûr – que la trans­fuge se pro­pose de mener les autres éclai­reurs vers l’endroit où elle flaire les sen­ti­nelles. Ram­per en silence, tel une larve, le long de ce tube qui est seule­ment un chouïa plus large que le gaba­rit habi­tuel d’un homme nor­mal, est déjà pas­sa­ble­ment com­pli­qué. Là, en plus, l’on est emmaillo­té dans ces har­nais, l’air est rare, des bes­tioles par­tout, des toiles d’araignées col­lantes et que l’on traîne avec, de la suie, des pointes de tôle tor­due qu’il vaut mieux évi­ter. L’on com­prend que c’est à décon­seiller aux per­sonnes sen­sibles, dont la guide elle-même, qui perd connais­sance à peine quelques mètres avant la sor­tie. Pour tout cou­ron­ner donc, ∞8, qui la suit, doit à pré­sent faire avec, et la pous­ser tant bien que mal jusqu’au point de chute. La phase 6 s’annonce encore plus com­plexe que la pré­cé­dente mais bon, ils arrivent enfin au bout.

La femme tombe comme un sac de patates. Son choix s’avère juste: accrou­pis dans une cage, quatre petits bon­hommes à poil (tor­chons cache-sexe excep­tés) semblent attendre leur tour. Pas de chance pour autant: c’est aus­si son ultime choix, car le bruit de sa chute les fait bon­dir et accueillir les intrus – dont la guide –  par leurs mouches mor­telles. Avec des feintes habiles, l’acteur, l’Italien et le Mos­sad par­viennent à évi­ter les points sen­sibles de leurs com­bi­nai­sons. Ils trompent la pre­mière salve meur­trière. En revanche, le vigile gar­dant les sen­ti­nelles tombe à la deuxième, piqué par erreur. L’échange qui suit est bref: il faut plus de temps aux pri­mi­tifs – nus – pour char­ger les sar­ba­canes, qu’aux éclai­reurs pour dégai­ner et tirer, sans par­ler de leurs moyens de pro­tec­tion. Une fois l’endroit com­plè­te­ment sécu­ri­sé, retour au groupe par un autre che­min, évidemment.

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La femme tombe comme un sac de patates. Son choix s’avère juste: accrou­pis dans une cage, quatre petits bon­hommes à poil (tor­chons cache-sexe excep­tés) semblent attendre leur tour. Pas de chance pour autant: c’est aus­si son ultime choix, car le bruit de sa chute les fait bon­dir et accueillir les intrus – dont la guide –  par leurs mouches mor­telles. Avec des feintes habiles, l’acteur, l’Italien et le Mos­sad par­viennent à évi­ter les points sen­sibles de leurs com­bi­nai­sons. Ils trompent la pre­mière salve meur­trière. En revanche, le vigile gar­dant les sen­ti­nelles tombe à la deuxième, piqué par erreur. L’échange qui suit est bref: il faut plus de temps aux pri­mi­tifs – nus – pour char­ger les sar­ba­canes, qu’aux éclai­reurs pour dégai­ner et tirer, sans par­ler de leurs moyens de pro­tec­tion. Une fois l’endroit com­plè­te­ment sécu­ri­sé, retour au groupe par un autre che­min, évidemment.

  1. Spé­cia­liste pou­vant inter­ve­nir dans dif­fé­rents domaines de l’informatique.
  2. Abré­via­tion anglaise de l’expression Denial of Ser­vice Attack (ou attaque par déni de ser­vice) qui désigne un assaut infor­ma­tique ayant pour but de rendre indis­po­nible un ser­vice ou d’empêcher ses uti­li­sa­teurs légi­times de l’utiliser.
  3. Ce terme anglais (qui peut être tra­duit comme grappe de ser­veurs) se réfère à un réseau de plu­sieurs dizaines ou cen­taines de mil­liers, voire mil­lions ordi­na­teurs indé­pen­dants appe­lés nœuds, reliés pour une ges­tion rapide et glo­bale des informations.
  4. Ter­ri­toire situé dans l’état de Vir­gi­nie, aux États-Unis, où se situe le siège de la CIA.
  5. Jeu ou sport dans lequel les joueurs éli­minent leurs adver­saires en les tou­chant avec des billes de pein­ture lan­cées par des mar­queurs  géné­ra­le­ment action­nés par air com­pri­mé ou par CO2.
  6. Nom don­né aux membre d’une com­mu­nau­té d’environ 200 Négri­tos, extrê­me­ment hos­tiles, vivant cou­pés du monde sur l’île de North Sen­ti­nel, dans archi­pel Anda­man, qui fait par­tie de l’Inde.
  7. «Un vrai bor­del!» (it.)
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