L’ŒIL et le SABRE (10/15)

Catégorie: Fiction
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L’impitoyable compte à rebours tourne

-00j11h08’26”. Sous les eaux l’ambiance reste ten­due. Quelqu’un essaie un gag. On le regarde de tra­vers. Il se tait et se serre. L’espace est pré­vu pour douze. Ils sont quinze: les gens de Kamil, fina­le­ment ceux indis­pen­sables – un phy­si­cien nucléaire, une astro­phy­si­cienne, un géo­phy­si­cien, un cli­ma­to­logue, une bio­lo­giste, qui ner­veux, qui absent, qui se signe; deux tireurs d’élite du Mos­sad, en ren­fort, air nar­quois; deux nageurs de com­bat du TMR

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ita­lien, inex­pres­sifs; une trans­fuge de l’ŒIL, cris­pée, s’essuie; un IT

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du SABRE, zen, les yeux clos; Kamil lui-même, grave, concen­tré; Ross, regard bais­sé, sombre; Moon­na, jamais plus belle; l’acteur, inchan­gé. L’équipe fait éco­no­mie de chef: chaque membre est pré­pa­ré en vue d’une auto­no­mie totale et d’une coor­di­na­tion mil­li­mé­trée avec les autres.

Deux cent qua­rante secondes encore pour les quinze à faire tour­ner leurs pen­sées. (“… et alors fran­che­ment, qui va payer les cent vingt mille d’arriérés pour la mai­son, sans par­ler de ce qu’il faut…?…”) (“…sais pas, mais cette engueu­lade avec elle, c’est exac­te­ment ce qu’il me man­quait mainte…”) (“ …détourne ton regard de mes péchés, efface toutes mes ini­qui­tés…”) (“…que j’ai été, imbé­cile que j’ai été, par­fois je me demande com­ment est-il pos­sible d’être…”) (“When I find myself in times of trouble, Mother Mary comes…”) (“…mais j’espère qu’il réus­si­ra son diplôme, et après… tout sera der­rière…”) (“…זה לא יאומן. כל פעם שאני מסתכל עליהן, יש לי את אותו רושם….”)3 (“…gra­tia ple­na, Domi­nus tecum, bene­dic­ta tu in mulie­ri­bus...”) (“…et je peux vrai­ment pas m’imaginer ce monstre, quand je me rap­pelle le…”) (“…je te demande par­don, s’il fau­dra qu’on se revoit pas, sache…”) (“…lement je m’en fous, il n’a qu’à aller se faire…”) (“…a été cru­ci­fié, est mort, a été ense­ve­li, est des­cen­du aux enfers…”).

Dans l’ŒIL du cyclope

L’engin ralen­tit, remonte, s’arrête, on sort, on court, on s’engouffre dans le Boeing CH-47 Chi­nook4 par des­sous les pales qui tournent déjà. Après neuf minutes on se rue dans le ventre du C-5 Galaxy5 et on reprend une Ne fois les consignes, les plans, les tâches, encore une fois les consignes, les plans… Trente deux minutes plus tard, le repaire de l’ŒIL est en vue. Il reste -00j10h12’45”.

Bien loca­li­ser le quar­tier géné­ral de l’organisation par­mi plu­sieurs Fata Mor­ga­na 6 qu’elle uti­lise n’est pas chose aisée, d’autant plus que la pré­sence de ce dieu invi­sible doit res­ter un impé­ra­tif. Par consé­quent, six ser­vices de ren­sei­gne­ments – indien, sud-afri­cain, amé­ri­cain, alle­mand, bré­si­lien et fran­çais – se donnent la main pour iden­ti­fier la cible selon les coor­don­nées 54°25’9.84”S par 3°22’0.77”E dans l’Atlantique sud, à quelques enca­blures de l’île Bouvet.

Sa consti­tu­tion et sur­tout son “com­por­te­ment” sont plus ter­ri­fiants encore que le folk­lore qui l’enveloppe. Le lieu concentre une varié­té de mani­fes­ta­tions optiques, élec­tro­ma­gné­tiques et cli­ma­tiques per­met­tant à ces struc­tures de pré­sen­ter ou de pro­je­ter vers l’extérieur une suc­ces­sion d’illusions alter­na­ti­ve­ment contrô­lées par les deux sta­tions spa­tiales du sys­tème. Ain­si, les équi­pe­ments du quar­tier géné­ral, construits à par­tir d’une plate-forme pétro­lière mobile modi­fiée et dont le volume glo­bal théo­rique hors d’eau dépasse 100’000 m3 peuvent, à choix: “dis­pa­raître” ponc­tuel­le­ment par manie­ment de l’effet Vavi­lov-Tche­ren­kov7; être “noyés” dans un nuage de brume suite à la créa­tion d’un état poly­pha­sique envi­ron­nant; simu­ler une autre forme d’organisation phy­sique, natu­relle ou arti­fi­cielle (par exemple une île exo­tique, un vol­can, une petite colo­nie urbaine, etc) par exci­ta­tion extrême des atomes d’hydrogène. En paral­lèle à ces effets, le centre dis­pose aus­si de moyens capables de pro­je­ter des images de struc­tures com­plexes et diver­si­fiées, sortes de gigan­tesques leurres, à des dizaines de kilo­mètres à la ronde. C’est là tout ce dont les divers ser­vices ont comme infor­ma­tions au sujet de ce lieu, sans par­ler d’autres capa­ci­tés et fonc­tion­na­li­tés res­tées au stade d’hypothèses.

Dire alors que le repaire de l’ŒIL est en vue revient plu­tôt à le consi­dé­rer – par rap­port à la posi­tion de l’avion – à proxi­mi­té. Il y a pour­tant bien plus que ça. On peut le ‘sen­tir’, d’une cer­taine façon, c’est comme lorsque l’air devient plus ‘dense’, sur­tout plus… désor­don­né. Dans la cabine on res­sent net­te­ment de fortes per­tur­ba­tions, des secousses, des cra­que­ments. Les appa­reils se mani­festent en mode inco­hé­rent, pro­ba­ble­ment dû à un fort magné­tisme induit. Vient après un court moment où ce qui entoure le poste de pilo­tage – les réac­teurs et les quinze pas­sa­gers com­pris – entre dans une eupho­rie au goût de catas­trophe. La panique est de mise. Par bon­heur, elle ne dure qu’une quin­zaine de secondes (autre­ment dit quinze siècles), puis, du coup, le silence s’installe. La matière retrouve l’ordre, réac­teurs com­pris, qui ron­ronnent de nou­veau à leur régime nor­mal. Les pas­sa­gers un peu moins, mais les tur­bu­lences sont pas­sées et l’on vole main­te­nant à 3000 m d’altitude envi­ron. Quelques uns soufflent, puis tout le monde se lève et se pré­pare au lancement.

La bataille ani­male d’Angleterre

Le ventre du car­go aérien s’ouvre, signe que l’opération entre dans sa deuxième phase. L’équipe s’élance et se dis­perse dans l’air au milieu de ses effets. De loin, hommes comme objets res­semblent à des mou­che­rons excré­tés par un élé­phant céleste. Le tra­jet dans l’air est com­pli­qué. L’attirail aux dos fait que – si chaque mou­che­ron était mis sur une balance – les onze hommes et quatre femmes pèse­raient au bas mot envi­ron le double de leur poids ‘à vide’, ce qui rend leur manœuvres aériennes dif­fi­ciles et déli­cates. En revanche, les jet packs air-mer8 leur faci­litent gran­de­ment ces mêmes manœuvres, les ren­dant plus rapides et pré­cises. Autour, au des­sus, une pluie de caisses et de paquets divers se déverse des entrailles du gros por­teur qui pen­dant ce temps s’éloigne, des­si­nant de grands cercles d’une fumée lai­teuse qui se dis­persent len­te­ment sur l’infini fond bleu foncé.

La des­cente se déroule comme pré­vu. Tout est bien joli, lorsque sou­dait sur­git un gros pro­blème: vers quoi se diri­ger? En effet, ce que l’on per­çoit au des­sous n’est qu’un brouillard infi­ni qui s’amuse en créant des formes comme sor­ties de la fan­tai­sie enfan­tine. Ils sont déjà plon­gés dans ce brouillard et – jus­te­ment – ce n’est pas joli du tout, car les paquets volants, eux, n’ont pas été pré­pa­rés pour manœu­vrer et alors que la visi­bi­li­té est pour ain­si dire qua­si nulle, l’on entend quelques coups secs, des bruits, un petit cri. Suivent des plouf!, plouf!, plouf!, plouf! à côté, autour, au loin, des dizaines et des dizaines de fois, hommes et objets dans le désordre.

À égale dis­tance entre l’Amérique du Sud, l’Antarctique et l’Afrique, l’océan, calme, est déjà assez froid pour qu’un fris­son puisse per­cer le néo­prène expan­sé de la com­bi­nai­son, cha­touillant le corps. Le brouillard stagne même à la sur­face de l’eau, mais au moins sa den­si­té semble plus per­mis­sive. L’obscurité s’atténue très len­te­ment, l’aube avance. On devine le début d’une belle jour­née s’il n’y avait le risque qu’elle soit la der­nière du holo­cène.9 L’acteur regarde sa montre: 05h18’24”, soit -00j10h04’13”. Des mes­sages cir­culent entre les quinze. On fait l’appel. La bio­lo­giste ne répond pas. On le refait. Idem. (“C’était donc ça, ah, non, meeerde!”) Un court silence. Le pro­to­cole de la mis­sion tient compte des pertes. Après, c’est le plan B. Quant au plan C, mieux vau­drait ne plus se le remémorer.

Camou­flé dans l’épais brouillard seule­ment quelques bras­sées plus loin, le QG de l’ŒIL four­mille de tout son effec­tif, cha­cun occu­pé à son poste. Busi­ness as usual,10 comme on dit. Les ordres sont brefs, les mou­ve­ments aus­si, on parle peu ou presque pas. Que pour­rait-on dire au comble d’un tel enjeu? Envi­ron cent vingt scien­ti­fiques, tech­ni­ciens, hommes de main, méca­ni­ciens ou simples fidèles dis­ci­pli­nés s’affairent à régler les der­nier détails, à véri­fier le rituel, l’enchaînement, les rou­tines, les cir­cuits, la trans­mis­sion, la coor­di­na­tion, les charges, l’armement. Plus d’une ving­taine de gar­diens épie chaque geste. Tout à l’air nor­mal, à part peut-être quelques signaux dis­pa­rates sur les radars, mais à cette période de l’année la zone est tra­ver­sée sou­vent par de nom­breuses vagues d’oiseaux migrateurs.

Au C3, le Centre de Com­mande et de Contrôle du SABRE, l’unité qui super­vise l’opération est éga­le­ment réunie au com­plet sous ‘la cou­pole’, lieu hau­te­ment sen­sible et stra­té­gique où convergent les liai­sons par satel­lite aus­si bien que les com­mu­ni­ca­tions ter­restres, où sont ana­ly­sées les don­nées qui cir­culent entre les dif­fé­rents ser­vices de ren­sei­gne­ments affi­liés au réseau. Une bonne soixan­taine de spé­cia­listes en tous genres réagissent en direct sur encore plus d’écrans à chaque mou­ve­ment de l’équipe qui se trouve au front.

Phase 3A. La com­mande part: «Dis­per­sion.». Des pres­sions aux poi­gnets font ouvrir la pre­mière par­tie des caisses qui flottent. En quelques secondes la nuit revient: un nuage com­pact de coléo­ptères noires dites “Titan” (Tita­nus gigan­teus) rem­plit l’atmosphère. Des mil­lions d’insectes de la taille d’un pou­let errent dans tous les sens par groupes de plu­sieurs mil­liers, dans un cha­hut d’enfer. En moins d’une minute le brouillard com­mence à céder. Phase 3B. La deuxième par­tie des caisses libère d’innombrables petits-ducs scieurs (Otus insu­la­ris)11 dans un essaim qui déclenche une sorte de courte bataille aérienne – mais ani­male – d’Angleterre,12 donc en maquette.

S’agissant seule­ment du nombre, les insectes sub­mergent les pré­da­teurs par un mul­tiple de cent, si ce n’est mille, mais ces der­niers ont l’avantage indé­niable de leur ins­tinct agres­sif qui les rend autre­ment plus effi­caces dans les attaques. Le clash aérien est hal­lu­ci­nant. L’aurore pointe et ses fines lueurs éclairent des hordes de mini Spit­fire13 et des meutes de mini Jun­kers Stu­ka14 qui se heurtent et se déciment aveu­gle­ment par­tout autour. À l’évidence, les oiseaux suivent une tac­tique pré­cise alors que les insectes, aus­si mas­sifs soient-ils, tour­noient anar­chi­que­ment, se cognant même vio­lem­ment entre eux. Les piqués et les coups des rapaces sont fou­droyants. Ils ne ratent jamais. Les cris, les bruits et les vrom­bis­se­ments se mélangent dans un vacarme assour­dis­sant. En des­sous, pour se mettre à l’abri de la pluie de vola­tiles qui leur tombe sur les têtes, les qua­torze venus du ciel sont de nou­veau redes­cen­dus un mètre sous l’eau. Ce qui se passe en sur­face c’est le bom­bar­de­ment de Dresde en minia­ture. Comme pla­ni­fié, le chaos aérien détruit com­plè­te­ment la brume arti­fi­cielle qui cache l’objectif. Ce qui reste du nuage noir se dis­perse aus­si tous azi­muts. À la sur­face, l’eau est recou­verte par un mate­las noir de cadavres, avec quelques pointes brun-rouge. Le soleil se lève, il est 05h26’53” heure locale. La cible se dresse à deux minutes de jet-pack. Depuis un moment déjà, rien qu’à un mètre sous l’eau on entend les sirènes hur­lant. «OK. Phase 4. Moteur». On fonce.

Sur les plate-formes de la sta­tion, dans les cabines, les salles, les postes de com­mande, par­tout, se créé main­te­nant le même désordre que tout à l’heure dans les airs. On court dans tous les sens. Quatre immenses phares balayent l’eau par mou­ve­ments cir­cu­laires, quatre autres tournent dans le ciel. Une pluie de pro­jec­tiles com­mence à per­fo­rer l’eau, fai­sant quelques vic­times inno­centes par­mi les bancs de pois­sons du coin. Les pre­mières visées et tou­chées sont pour­tant les dizaines d’autres caisses fer­mées qui flottent pai­si­ble­ment au milieu du tapis de cadavres. Pour elles, c’est pile le moment cal­cu­lé pour écla­ter, et ce qui en res­sort déclenche la fée­rie escomp­tée: le ciel est rem­pli de bal­lons tels les boules de savon dont raf­folent les enfants, sauf qu’immenses celles-ci, et pas en savon, mais en… latex? sili­cone? poly­éthy­lène? Impos­sible de savoir. L’effet est cepen­dant iden­tique: le même spectre colo­ré des taches d’essence, les mêmes capa­ci­tés réflé­chis­santes, la même trans­pa­rence. Quant au gaba­rit, les plus petits font dans les trois mètres de rayon, les plus grands ont en tous cas la taille d’une grosse mont­gol­fière. Les formes enfin? Sur ce point, on retrouve la fan­tai­sie débri­dée du “cer­veau” mor­pho­lo­gique qui fait à la fois et les délices et les cau­che­mars du Ser­vice, mon­sieur T: des lapins, des nou­nours, des vaches, des chiots, des clowns, des cochons, et même quelques formes un peu plus inha­bi­tuelles et osées. Mais le plus fou est qu’alors qu’ils gonflent et que les rafales les font aus­si­tôt péter, en écla­tant ils engendrent d’autres formes, et en plus grand nombre encore. C’est en plein dérou­le­ment de ce spec­tacle ahu­ris­sant que les plon­geurs atteignent la sta­tion et remontent à la sur­face. On refait l’appel. Per­sonne ne manque. Ross est cepen­dant sérieu­se­ment tou­ché au tho­rax. Il râle. Pour lui, conti­nuer est hors de ques­tion, et comme il risque de se noyer, il est extrait de l’eau, puis soli­de­ment coin­cé entre les mem­brures d’acier d’un pylône. Ça com­mence à bien faire, et ∞8 ne peut s’empêcher d’avoir déjà une idée pour le plan B. L’impitoyable compte à rebours indique -00j09h52’34”. Tant qu’à faire, on lance pour­tant la phase 5A, et l’équipe entame fur­ti­ve­ment l’escalade des struc­tures de sou­tien au tra­vers d’un dédale fuyant de poutres, piliers et tirants.

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C’est en plein dérou­le­ment de ce spec­tacle ahu­ris­sant que les plon­geurs atteignent la sta­tion et remontent à la sur­face. On refait l’appel. Per­sonne ne manque. Ross est cepen­dant sérieu­se­ment tou­ché au tho­rax. Il râle. Pour lui, conti­nuer est hors de ques­tion, et comme il risque de se noyer, il est extrait de l’eau, puis soli­de­ment coin­cé entre les mem­brures d’acier d’un pylône. Ça com­mence à bien faire, et ∞8 ne peut s’empêcher d’avoir déjà une idée pour le plan B. L’impitoyable compte à rebours indique -00j09h52’34”. Tant qu’à faire, on lance pour­tant la phase 5A, et l’équipe entame fur­ti­ve­ment l’escalade des struc­tures de sou­tien au tra­vers d’un dédale fuyant de poutres, piliers et tirants.

  1. Abré­via­tion de Ter­ra-Mare-aRia (it., terre-mer-air), uni­té de com­man­do de la marine de guerre dont les membres sont entraî­nés pour mener des opé­ra­tions de recon­nais­sance spé­ciale, de guerre non conven­tion­nelle, de prise d’otages et de contre-terrorisme.
  2. Abré­via­tion de Infor­ma­tion Tech­no­lo­gy (ang.) – tech­no­lo­gie de l’information: domaine du trai­te­ment de l’information. ‘un IT’: un spé­cia­liste actif dans ce domaine.
  3. (“…c’est incroyable, je les regarde chaque fois et chaque fois j’ai cette impression”…)
  4. Héli­co­ptère mili­taire amé­ri­cain lourd de manœuvre et d’assaut.
  5. Lock­heed C-5 Galaxy: avion mili­taire amé­ri­cain de trans­port de grande capacité.
  6. Mirage (phé­no­mène optique) créé par des per­tur­ba­tions de rayons lumi­neux au pas­sage à tra­vers un gra­dient ther­mique dans l’atmosphère.
  7. Phé­no­mène créant un flash de lumière lorsqu’une par­ti­cule char­gée se déplace dans un milieu diélec­trique à une vitesse supé­rieure à celle de la lumière dans ce milieu.
  8. Engin per­son­nel mixte muni de moteurs-fusée per­met­tant de conduire et d’accélérer le dépla­ce­ment aus­si bien aérien que sur – et sous – l’eau.
  9. L’époque géo­lo­gique actuelle.
  10. Les affaires cou­rantes, habi­tuelles ou rou­ti­nières. (ang.)
  11. Petit oiseau rapace rou­geâtre de la famille des stri­gi­dés (hiboux et chouettes).
  12. Le terme désigne ce qui passe sou­vent comme la plus grande bataille aérienne de l’histoire, soit la suc­ces­sion de com­bats qui a oppo­sé la Luft­waffe du IIIe Reich alle­mand à la Royal Air Force et à la défense anti­aé­rienne bri­tan­niques de juillet 1940 à juin 1941.
  13. Un des chas­seurs le plus uti­li­sés par les Bri­tan­niques pen­dant la IIe Guerre mondiale.
  14. Célèbre bom­bar­dier en piqué alle­mand fabri­qué à par­tir de 1935.
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